(enfin... j'espère!)
De bonnes lectures!
(enfin... j'espère!)
Découvrez l'univers littéraire de Jean-Michel Gaudron, obsédé textuel assumé...
Et si Marguerite était restée avec Paul plutôt que de s’enfuir?
Et si Nikola avait écouté son intuition et refusé ce rendez-vous à Schengen?
Et si Julia n’avait pas accepté de passer un week-end chez John-Li?
Et si Jacques et Caroline avaient choisi les États-Unis comme destination de leur voyage de noces?
Et si Pietro avait pu se rendre à Bruxelles?
Et si Yegor était devenu tatoueur?
Et si… Et si… Et si…
Et si…? est un roman qui explore les carrefours du destin, où parfois certains traversent même quand le feu de signalisation est encore rouge.
Le libre-arbitre n’a pas de sifflet ni de carton jaune ou rouge. Il donne à chacun le pouvoir de poser des choix, qui se révèleront plus tard bons ou mauvais.
Les existences de Marguerite, Nikola, Julia, Jacques, Caroline, Pietro, Yegor (et les autres…) vont se croiser et décroiser au gré de leurs décisions. Pour le pire ou le meilleur.
L'effeuilleuse des saisons
Voici un voyage sensuel à travers les douze mois de l’année dans ce recueil de nouvelles érotiques qui célèbre la passion sous toutes ses formes. Une nouvelle par mois... et une nouvelle par moi! Celle de février.
Sous la direction de l'auteure québécoise Julie Bourgeois, douze auteur(e)s se sont réunis pour explorer les émotions, les désirs et les plaisirs au fil des saisons.
Des premières chaleurs printanières aux longues nuits d’hiver, chaque histoire vous transporte dans des univers sensuels où l’érotisme s’entrelace avec la poésie des saisons.
Qui mourra verra
Quand un homme, persuadé qu'il va bientôt mourir, décide de tout plaquer et de régler certains comptes avec son passé... Quand il décide de plonger au plus profond de lui et de sa relation avec la vie. Avec la mort.
Et quand rien ne se passe comme prévu...
Découvrez mon tout premier roman!! Et recevez une version dédicacée
«Une des fonctions les plus mystérieuses et les plus constantes du temps
est d'élever le hasard à la dignité
de la nécessité.»