Allez, il ne faut pas rester là, messieurs dames. Il faut partir. Septembre, c’est fini. On remballe.
Tout le monde s’est bien amusé à regarder les banques tomber, et l’on compte encore le nombre de zéros avant la virgule lus dans les journaux…
Mais comment Diable autant de chiffres pourraient rentrer sur le relevé de la banque qui nous attend dans la boîte aux lettres? Être ou ne pas être riche, telle e$t la question…
L’été pourri s’est fini sous un soleil à peine revenu de vacances et déjà en partance pour une hibernation prolongée… Même pas vu la différence! Heureusement, il y en a qui s’en foutent du temps qui fait. Ils sont rares, certes, considérés avec étonnement, voire suspicion par leurs contemporains, mais ils existent! Être ou ne pas être dans la norme…
Trois trimestres se sont achevés. Neuf mois, le temps d’une gestation… Tiens tiens, comme par hasard! Étonnant, non? Le temps qu’il faut à l’hiver pour accoucher de son automne… Ou de l’été pour mettre au monde le printemps. De quoi alimenter les conversations dans les enceintes intellectuelles (et je ne parle pas des femmes au Q.I. anormalement élevé, ni d’une certaine Garde des Sceaux, vous l’aviez compris…). Tais-toi et regarde pousser les arbres! Hêtre ou ne pas hêtre, c’est du bouleau et il y a de quoi rester un peu plié sous le poids des chênes.
Une page s’est refermée, une autre s’ouvre. Émotion, quand tu nous tiens (et pas par la barbichette… pas envie de rire ni de recevoir des tapettes…)
Bye Bye septembre, hello octobre, mois de la fête de la bière, d’une poursuite de couleur rouge, d’une révolution outre-Oural, du changement d’heure. Être ou ne pas être en retard le dimanche 26 au matin (pour mémoire, on recule les montres d’une heure…), quelle est la réponse?
(Octobre est un mois particulièrement dangereux pour spéculer en bourse. Mais il y en a d’autres: juillet, janvier, septembre, avril, novembre, mai, mars, juin, décembre, août et février. [Mark Twain])
(Billet publié sur un blog perso en octobre 2008)
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